14 mars – Geneviève Rioux, L’être Persane et Jean-Paul Daoust au Centre Culturel Pierre-Gobeil

Le poète Jean-Paul Daoust présente ses meilleurs textes lors d’une soirée intime où il sera précédé par les artistes Geneviève Rioux et L’être persane. Pour les amoureux des mots et des idées!

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Jean-Paul Daoust

Jean-Paul Daoust a publié plus d’une quarantaine d’ouvrages de poésie, deux romans et un recueil de récits intitulé Sand Bar. Lauréat du prix du Gouverneur général (1990) pour Les cendres bleues, il a été directeur de la revue de poésie Estuaire de 1993 à 2003. Le vitrail brisé (2009) a remporté le Grand prix Québecor du Festival international de la poésie. Poète en résidence de l’émission « Plus on est de fous, plus on lit » diffusée sur la première chaîne de Radio-Canada, ses Odes radiophoniques ainsi qu’une réédition en format de poche de 111, Wooster street ont paru aux éditions Poètes de brousse.

Geneviève Rioux

Geneviève Rioux est doctorante en psychologie et écrivaine. Survivante d’une tentative de meurtre et d’agression sexuelle, elle dénonce cette violence par l’écriture, véritable exutoire et outil de justice. À travers différents genres littéraires, elle aborde l’adversité, la résilience et le rapport à l’intime. Geneviève est l’auteure de la nouvelle littéraire Pièce manquante (Après le bip, La Bagnole, automne 2024), de la suite poétique Nous cueillerons l’indice sur la chair (Le Sabord, numéro 128, Foudres, automne 2024) et du recueil de poésie Survivaces (Mémoire d’encrier, printemps 2022). Elle a également publié une suite poétique aux éditions d’art Le Sabord (numéro 119, Machines, automne 2022) intitulée Je n’ai pas dit mon dernier souffle / Dossier EG-2018–16378. Cette publication lui a valu le titre de lauréate au Prix d’excellence de la SODEP comme voix de la relève 2022. Elle lance, en 2024, son premier roman, Même pas morte, publié aux éditions Stanké.

L’être persane

Celle qui est psychologue en clinique privée, a découvert, dans le slam, un moyen pour extérioriser ses émotions. « J’ai découvert le slam en tant que public. C’est en 2014, à Sherbrooke, que je me suis lancée. Au début, je ne partageais pas mes textes. Mais quand je les lisais, je voyais que mes mots pouvaient raisonner chez les autres», explique-t-elle. Les planches sont, d’ailleurs, des lieux où l’être persane se sent entièrement libre. « Je trouve mon bonheur sur scène, avec les mots, l’espace, la théâtralité.» En plus de ses performances sur scène, L’être persane a beaucoup de projets d’écriture qu’elle voudrait concrétiser, dans les prochaines années. « Pour l’instant, j’écris, mais je ne suis pas encore à l’étape d’envoyer mes textes dans des maisons d’édition», explique-t-elle.

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