Raphaelle B. Adam est une écrivaine spécialisée dans les littératures de l’imaginaire. Elle est également travailleuse culturelle et chroniqueuse littéraire.
Originaire de Shawinigan, Raphaëlle B. Adam détient un baccalauréat en études françaises de l’UQTR ainsi qu’une maîtrise en création littéraire de l’Université de Sherbrooke. Elle évolue dans le milieu littéraire en tant qu’écrivaine, mais également à titre de chroniqueuse et de travailleuse culturelle.
Lauréate du prix Clément-Marchand en 2011, elle a publié des nouvelles noires et fantastiques dans plusieurs revues spécialisées (Alibis, Solaris, Nyx, Clair/Obscur, Brins d’éternité, Le Sabord) ainsi que dans quatre collectifs («Les Murmurantes» et «À l’Est de l’Apocalypse» aux éditions Les Six Brumes, «Cruelles» aux éditions Tête Première et «Face à face» aux éditions Druide). Son premier livre, le recueil de nouvelles fantastiques «Servitude» (Éditions Triptyque), a remporté le prix Alfred-DesRochers en 2021. Plusieurs de ses textes ont également été nommés pour divers prix.
Maude Deschênes-Pradet est une écrivaine née à Québec en 1983. Détentrice d’un doctorat en littérature et création de l’Université de Sherbrooke, elle enseigne au Cégep et à l’Université de Sherbrooke. Elle est l’autrice des romans La corbeille d’Alice (XYZ, 2013) et Hivernages (XYZ, 2017). Ses nouvelles sont parues, notamment, dans XYZ. La revue de la nouvelle et Le crachoir de Flaubert. Pour ses études doctorales, elle a obtenu la prestigieuse bourse du Canada Vanier. Son étude sur le rapport à l’espace dans les littératures de l’imaginaire au Québec, Habiter l’imaginaire : Pour une géocritique des lieux inventés (2019, Lévesque éditeur), a été nominée pour le prix Jean-Éthier-Blais. Son roman La corbeille d’Alice (2013, XYZ éditeur) a été finaliste au prix Senghor du premier roman francophone et francophile. Son deuxième roman, Hivernages (2017, XYZ éditeur), a remporté le prix des Horizons imaginaires.
Originaire de Sherbrooke, Louise Dupré a publié près d’une trentaine de titres, qui lui ont valu de nombreuses distinctions, dont deux fois le Prix du Gouverneur général. En 2022, elle a fait paraître les recueils poétiques Nous ne sommes pas des fées (Mémoire d’encrier), en collaboration avec Ouanessa Younsi, et Exercices de joie (Éditions du Noroît et Éditions Bruno Doucey). Elle a aussi publié quatre romans, dont Théo à jamais (Héliotrope), et un recueil de nouvelles, L’été funambule (Éditions XYZ). Ses livres ont été traduits dans plusieurs langues. Elle est membre de l’Académie des lettres du Québec.
Louise Dupré a fait don de ses archives au Centre Anne-Hébert de l’Université de Sherbrooke, son alma mater.
Originaire du Bas-Saint-Laurent, Mylène Rioux s’est installée à Sherbrooke en 2000 pour y poursuivre ses études universitaires. Après un passage en communication, puis en enseignement, elle finit par revenir vers ses premières amours : les études littéraires. Récipiendaire d’un mérite estrien en 2020 (catégorie engagement), elle a également remporté le Prix Jacques-Poisson en 2019, soulignant ses efforts de défense et de promotion de la langue française. Elle fut, jusqu’à tout récemment, directrice générale du Salon du livre de l’Estrie.
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